Préambule. Comme mon propos pourra apparaître complexe, voire hyper-complexe, pour le dire dans les termes d’Edgar Morin (en espérant qu’il ne soit pas juste filandreux), il ne sera peut-être pas inutile que je dise en introduction… quelques mots de la conclusion à laquelle je veux aboutir. Toute la jeunesse est à juste titre particulièrement anxieuse (...)